
Bonjour, je vous souhaite tous la bienvenue sur le blog officiel de la sage Fifty Shades Of Grey. écrit par la célébrissime EL James.
Ici je vous aurez les liens qui vous permet de lire la trilogie gratuitement.
Vous aurez également les informations concernant le tournage du premier film de cette sage érotique.
Cliquez sur les liens où c'est écrit TOME pour pouvoir lire les romans.
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Tome I : 50 nuances de grey
« Lorsque Anastasia Steele, étudiante en littérature, interviewe le richissime chef d'entreprise Christian Grey, elle est à la foie séduite et profondément intimidée. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l'oublier jusqu'à ce qu'il débarque dans le magasin où elle travail à mi-temps et lui propose un rendez-vous.
Naïve et innocente, Ana est troublée de constater qu'elle est follement attirée par cet homme. Quand il lui suggère de garder ses distances, elle ne l'en désire que davantage.
Mais Grey est tourmenté par ses démons intérieurs et le besoin de tout contrôler. Lorsqu'ils entament une liaison passionnée, Ana découvre son pouvoir érotique, ainsi que la part obscure que Grey tient à dissimuler. »
Tome II: 50 nuances plus sombres
« Il est revenu. Maman dort ou bien elle est de nouveau malade.
Je me recroqueville sous la table de la cuisine pour me cacher. Je vois maman à travers mes doigts. Elle est endormie sur le canapé. Sa main repose sur le tapis vert poisseux, et lui porte ses grosses bottes avec la boucle qui brille. Il crie sur maman en se tenant au-dessus d'elle.
Il la frappe avec un ceinturon. Debout ! Debout ! Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée.
Maman sanglote. Arrête. Je t'en prie, arrête. Maman ne crie pas. Maman se met en boule.
Je me bouche les oreilles et je ferme les yeux. Le bruit cesse.
Il se tourne et je vois ses bottes lorsqu'il entre en tapant des pieds dans la cuisine. Il a toujours le ceinturon. Il me cherche.
Il s'accroupit en souriant. Il sent mauvais. Il pue la cigarette et l'alcool. Te voilà, petit merdeux.
Il se réveille dans un gémissement effrayant. Seigneur ! Il est trempé de sueur et son c½ur bat à tout rompre. Bon sang, mais qu'est-ce qui se passe ? Assis droit dans le lit, il se prend la tête dans les mains. Bordel. Ils sont de retour. Ce bruit, c'était moi. Il inspire profondément pour se calmer et s'efforce de vider son esprit et ses narines de l'odeur du bourbon bas de gamme et de la puanteur froide des Camel. »
« Il est revenu. Maman dort ou bien elle est de nouveau malade.
Je me recroqueville sous la table de la cuisine pour me cacher. Je vois maman à travers mes doigts. Elle est endormie sur le canapé. Sa main repose sur le tapis vert poisseux, et lui porte ses grosses bottes avec la boucle qui brille. Il crie sur maman en se tenant au-dessus d'elle.
Il la frappe avec un ceinturon. Debout ! Debout ! Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée. Tu n'es qu'une traînée défoncée.
Maman sanglote. Arrête. Je t'en prie, arrête. Maman ne crie pas. Maman se met en boule.
Je me bouche les oreilles et je ferme les yeux. Le bruit cesse.
Il se tourne et je vois ses bottes lorsqu'il entre en tapant des pieds dans la cuisine. Il a toujours le ceinturon. Il me cherche.
Il s'accroupit en souriant. Il sent mauvais. Il pue la cigarette et l'alcool. Te voilà, petit merdeux.
Il se réveille dans un gémissement effrayant. Seigneur ! Il est trempé de sueur et son c½ur bat à tout rompre. Bon sang, mais qu'est-ce qui se passe ? Assis droit dans le lit, il se prend la tête dans les mains. Bordel. Ils sont de retour. Ce bruit, c'était moi. Il inspire profondément pour se calmer et s'efforce de vider son esprit et ses narines de l'odeur du bourbon bas de gamme et de la puanteur froide des Camel. »
Tome III :50 nuances plus claires
« Maman ! Maman ! Maman dort par terre. Ça fait longtemps qu'elle dort. Je lui brosse les cheveux parce qu'elle aime ça. Elle ne se réveille pas. Je la secoue. Maman ! J'ai mal au ventre. J'ai faim. J'ai soif. Dans la cuisine, je traîne une chaise jusqu'à l'évier et je bois. Je mouille mon chandail bleu. Maman dort encore. Maman, réveille-toi ! Elle ne bouge pas. Elle est froide. Je prends mon doudou et je couvre maman, et je m'allonge à côté d'elle sur la moquette verte toute tachée. Maman dort encore. Maman, réveille-toi ! J'ai deux petites voitures. Je joue avec mes voitures par terre à côté de maman qui dort. Je pense que maman est malade. Je cherche quelque chose à manger. Dans le congélateur, je trouve des petits pois. Ils sont froids. Je les mange. Ça fait mal au ventre. Je dors à côté de maman. Il n'y a plus de petits pois. Il y a un truc dans le congélateur. Ça pue. Je le lèche et ma langue colle dessus.
Je le mange. Ce n'est pas bon. Je bois de l'eau. Je joue avec mes voitures, puis je dors à côté de maman. Maman est froide, et elle ne veut pas se réveiller. La porte s'ouvre tout d'un coup. Je couvre maman avec mon doudou. Il est là. Putain. Qu'est-ce qui s'est passé ici, bordel de merde ? Sale pute. Merde. Putain. Fous le camp, espèce de petit morveux. Il me donne un coup de pied, et je me cogne la tête par terre. J'ai mal à la tête. Il téléphone à quelqu'un et il s'en va. Il ferme la porte à clé. Je m'allonge à côté de maman. J'ai mal à la tête. La dame de la police arrive. Non. Non.Non. Ne me touchez pas. Je reste à côté de maman. Non. Laissez-moi. La dame de la police prend mon doudou et m'attrape. Je crie. Maman ! Maman ! Je veux ma
maman. Les mots sont partis. Je ne peux plus dire les mots. Maman ne peut pas m'entendre. Je n'ai plus de mots. »
« Maman ! Maman ! Maman dort par terre. Ça fait longtemps qu'elle dort. Je lui brosse les cheveux parce qu'elle aime ça. Elle ne se réveille pas. Je la secoue. Maman ! J'ai mal au ventre. J'ai faim. J'ai soif. Dans la cuisine, je traîne une chaise jusqu'à l'évier et je bois. Je mouille mon chandail bleu. Maman dort encore. Maman, réveille-toi ! Elle ne bouge pas. Elle est froide. Je prends mon doudou et je couvre maman, et je m'allonge à côté d'elle sur la moquette verte toute tachée. Maman dort encore. Maman, réveille-toi ! J'ai deux petites voitures. Je joue avec mes voitures par terre à côté de maman qui dort. Je pense que maman est malade. Je cherche quelque chose à manger. Dans le congélateur, je trouve des petits pois. Ils sont froids. Je les mange. Ça fait mal au ventre. Je dors à côté de maman. Il n'y a plus de petits pois. Il y a un truc dans le congélateur. Ça pue. Je le lèche et ma langue colle dessus.
Je le mange. Ce n'est pas bon. Je bois de l'eau. Je joue avec mes voitures, puis je dors à côté de maman. Maman est froide, et elle ne veut pas se réveiller. La porte s'ouvre tout d'un coup. Je couvre maman avec mon doudou. Il est là. Putain. Qu'est-ce qui s'est passé ici, bordel de merde ? Sale pute. Merde. Putain. Fous le camp, espèce de petit morveux. Il me donne un coup de pied, et je me cogne la tête par terre. J'ai mal à la tête. Il téléphone à quelqu'un et il s'en va. Il ferme la porte à clé. Je m'allonge à côté de maman. J'ai mal à la tête. La dame de la police arrive. Non. Non.Non. Ne me touchez pas. Je reste à côté de maman. Non. Laissez-moi. La dame de la police prend mon doudou et m'attrape. Je crie. Maman ! Maman ! Je veux ma
maman. Les mots sont partis. Je ne peux plus dire les mots. Maman ne peut pas m'entendre. Je n'ai plus de mots. »
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